Scène de ménage extrême

Repasser ? Le calvaire. A moins de le faire dans des lieux plus fous les uns que les autres. L'extreme ironing (repassage de l'extrême) séduit même les plus fainéants.


Activité créée en 1997 par l'anglais Phil Shaw, employé d'usine de prêt-à-porter dont rien que l'idée de repasser lors de son temps libre lui donne des boutons. Parti faire de l'escalade il en profite pour s'acquérir de sa tache ... au sommet.
Quelques années plus tard, en 2003, 1005 équipes participent aux premiers championnats du monde d'extreme ironing. En 2012 ce sont des milliers de pratiquants qui inondent le web de photos plus incroyables les unes que les autres.



Pour d'autres repassages de l'extrême rendez vous sur extreme ironing.com

La police joue les sages-femmes

A Bangkok, Thaïlande, près de dix femmes accouchent chaque année dans une voiture coincée dans les embouteillages. Les forces de l'ordre ont alors appris à donner la vie.



Dans la capitale thaïlandaise, où sept millions de véhiculent circulent quotidiennement, il faut souvent une heure pour parcourir un kilomètre. La police a donc décidé de former pas moins de 130 agents de la circulation à "l'accouchement de rue".
Tous les ans, ils devront suivre un stage d'une journée durant de laquelle ils apprennent les premiers soins à dispenser à la mère et au nourrisson. Ces agents d'un nouveau genre, sont réunis au sein d'une unité et sillonnent la Cité des anges et interviennent à la moindre contraction.
Selon les forces de l'ordre, cette initiative aurait redoré l'image des policiers thaïlandais, quelque peu entachée par la corruption. En vingt ans, une centaine de bébés seraient ainsi nés dans les bras d'un policier.
Le général Manit Wongsomboon, en détiendrait le record, ayant assuré à lui seul pas moins de trente naissances.

Big Apple, version bio

C'est à l'ombre de Wall Street que prospère une communauté d'adeptes du bio pas comme les autres. Pour profiter de produits sains pas chers, ils donnent de leur temps à la coopérative dont ils sont membres.



Idée un peu folle en 1973, dans l'esprit d'une bande d'idéalistes : proposer des produits bios, pas chers, équitables, aux New-Yorkais. C'est au coeur de Brooklyn que leur petite coopérative, Park Slope Food Coop est désormais une institution. 
Forte aujourd'hui de 15 000 membres, le principe est de faire partager aux habitants des produits cultivés de manières biologique non loin de Manhattan et vendus à des prix défiants toute concurrence. Chacun des quinze mille membres doit consacrer 3 heures par mois à la coopérative. 
Pas d'exception, même Chad Coleman, l'acteur de la série The Wire, qui doit, comme les autres, déballer les cartons, mettre les produits en rayon ou tenir la caisse. 
Un panneau souhaitant la bienvenue et rappelant le réglement, notamment que seuls les membres sont autorisés à y faire leurs achats, un tableau à la sortie informant les clients de la prochaine réunion générale. Une initiative bio et démocratique.

Les chiffres insolites

30% Ce que représente le parc forestier français, le plus gros en Europe en nombre d'arbres, le troisième en terme de surface. En deux siècles, la surface occupée par les espaces boisés à presque doublée.

95% des français placent la pollution de l'eau en tête de leurs priorités environnementales.

17 arbres sont épargnés lorsque l'on utilise une tonne de papier recyclé. Sans parler des 20 000 litres d'eau et l'équivalent en CO2 d'un voyage en voiture de 2000km.

200 loups, environ, peuplent les bois, forêts et montagnes françaises.

25 000€ Le prix de la bague de fiançailles recyclée de l'actrice Natalie Portman. Un bijou composé d'or platine recyclé, d'une pierre centrale provenant d'un bijou ancien et de diamants issus d'une "mine propre".

40 millions. La quantité de litres d'essence, depuis sa création en 2004, que le site covoiturage.fr a permis d'économiser.

8 A Londres le nombre d'étages du Murray Grove, le plus haut bâtiment d'habitation en bois du monde.

82 pays participeront à l'opération de nettoyage de la planète baptisée The World Clean Up 2012.

Nantes la ville verte

Après Stockholm et Hambourg, c'est au tour de Nantes d'être élue capitale verte d'Europe en 2013. Quoi de plus légitime pour une ville nature.



"On a créé des culées vertes à partir de l'hypercentre, qui permettent de marcher des heures dans la verdure en suivant l'Erdre ou la Chézine" témoigne Maryline Guillard, directrice Energie et environnement de Nantes métropole. C'est ainsi qu'avec 32 000 hectares protégés la ville peut se venter que 100% de ses habitants vivent à moins de 300 mètres d'un espace vert.
Promouvoir une agriculture de proximité comme contribue aussi à réduire les émissions de gaz à effet de serre. C'est dans cette optique que quatre débutants en agriculture ont travaillé une friche agricole pour produire une soixantaine de légumes bios.
Pour relever le défi de diminuer de 30% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020, le développement des transports en commun est crucial. Avec 100 000 abonnées pour 600 000 habitants l'agglomération nantaise possède le meilleur ratio de France. 
Consommation, habitat, déchet, énergie, déplacements, l'idée de l'Atelier climat était d'identifier ce qui bloque ou favorise l'adhésion de la population à la politique de développement durable.
Un leitmotiv qui semble être devenu la règle de conduite de toute la ville.

Écoquartier à Nancy

Nancy. Sa place Stanislas, sa villa Majorelle, ses façades art-déco et ... son écoquartier du place de Haye.



Situé à la lisière de la forêt de Haye, ce territoire de 440 hectares du Grand Nancy a obtenu le grand prix national Écoquartier 2011 du Ministère de l'Ecologie. Ce prix récompense les programmes de rénovation urbaine qui répondent aux enjeux de la Ville européenne durable.
C'est en 2004 que s'amorce la stratégie de valorisation de cet ancien quartier en friches en nouvel espace urbain écoresponsable. L'objectif est simple, proposer un nouveau vivre ensemble en ville aux 15 000 habitants de la cité. Le programme prévoit des transports en commun en site propre, des chemins piétonnier et des pistes cyclables. L'écoquartier répond également aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre grâce à une chaufferie bois-gaz et des logements à basse consommation.
Le volet solidaire prévoit aussi des chantiers d'insertion professionnelle et des coopératives pour la gestion des jardins partagés. La démocratie participative aura même un espace dédié.
Une raison de plus d'aller visiter la capitale de la Lorraine.

Containers à tout faire

D'un côté des containers hors d'usage et de l'autre une crise du logement grandissante. Pourquoi ne pas associer les deux ? Cette solution nous paraît désormais monnaie courante mais la technique originaire des Pays-Bas et implanté au Canada puis au Etats-Unis, en Allemagne et depuis deux ans en France ne cesse de séduire.



Intronisée en France, dans la ville du Havre, la "ville container" est une nouvelle forme d'habitat, plus économique et écologique. Gagné par une période où il faut économiser et faire attention à la planète, cette solution s'est vite répandue de par le monde. En France, l'inauguration de ce nouveau type de logement s'est faite au Havre, et la centaine de logements étudiants à fait fureur. Et pour cause, 24m² (soit 6 de plus qu'en résidence universitaire classique) pour un loyer de moins de 300 euros, le ratio est rare de nos jours. 
Cette solution nous vient directement des Pays-Bas où en 2004, une municipalité a du trouver le moyen de reloger rapidement 7000 étudiants. A Londres, une "ville container" a également vu le jour dans le quartier réhabilité des docks. Dans d'autres pays, les containers servent à dresser de nouvelles maisons tout confort et facile à mettre en place. 
L'intérêt d'une telle structure réside essentiellement dans le fait que l'on puisse les empiler comme des Légo. Résistants au feu, recyclables, étanches mobiles, ces containers offrent un espace de vie plus agréables grâce à l'utilisation de grandes baies vitrées. 
Dans la région de Strasbourg de nouveaux types de containers se dressent dans le paysage. Il s'agit ni plus ni moins de restaurants. Il n'a rien de plus qu'une vulgaire baraque à frite au premier regard mais il se déplie et se replie en quelques minutes, et propose un intérieur tout équipé, et une terrasse partiellement couverte. C'est là que la Tecknobox  fait la différence. "On propose un équipement à la carte. On peut l'adapter à tous les besoins souligne Gérard Risch un des deux créateurs de la l'entreprise Tecknobox. On nous a sollicité pour y faire des sushis, de la boulangerie, des glaces". 
Des concepts en tout genre pour redonner vie à ces containers usés par les kilomètres et des réalisations diverses et variées à la mesure de la demande. 


Bibliothèque du partage à Miami

Il n'y a rien de mieux que de s'allonger avec un bon bouquin avant de s'endormir. Certes, aujourd'hui, avec l'invasion des portables et autres gadgets online, la lecture recule encore et encore chez les enfants. Mais que dire de ces petits qui n'ont pas assez d'argent pour avoir des livres ? En Floride, des enfants offrent leurs livres à d'autres enfants n'ayant pas les moyens pour s'en approprier.



Un récent sondage fait part de 1,6 millions d'enfants sans abris, sans compter les enfants vivant sous le seuil de pauvreté. A 50ans, Lilli Leight a voulu aider ces enfants sans abri de sa communauté et a créé une bibliothèque du don au sein du refuge des sans abri de Miami. 
Son action fut remarquée et de nombreuses personnes donnèrent leurs livres afin que les personnes dans le besoin puissent y avoir accès. Lilli remarqua par ailleurs, et ce n'est pas le cas qu'aux Etats-Unis, que les jeunes de nos jours après avoir fait leurs devoirs, préféraient allumer la télé que se plonger dans un livre comme elle le faisait à son époque. Le problème était que l'accès aux livres n'était pas simple, du moins aussi simple que la télécommande posée sur la table basse, ou l'ordinateur. 
Des enfants scolarisés désintéressés par les livres et des enfants sans abris ne disposant d'aucune ressource, c'est ce que constata Lilli Leight. Elle regroupa alors les livres de ses amis, de sa famille, demanda de l'aide à des organisations locales et aux libraires. Son effort fut récompensé puisque désormais le refuge peut proposer plusieurs livres par enfant. 
Cette bibliothèque ne s'arrête pas à la simple consultation puisque lorsque les familles quittent le centre, elles peuvent emporter avec elles autant de livres qu'elles le désirent. 
Lilli Leight confia que ce projet lui a permis de changer le monde, même si ce n'est qu'un enfant à la fois, et c'est déjà bien.
Grâce à elle et aux volontaires qui l'entourent de nombreux enfants dans une situation économique difficile ont pu découvrir ou redécouvrir les joies de la lecture. 

L'Allemagne se met aux panneaux solaires

Les efforts faits par l'Allemagne en énergie renouvelable sont remarquables, d'autant plus que le pays vient de battre un record. 22 gigawatts par heure. Cela ne vous parle pas ? Ce chiffre représente le record de production électrique par des panneaux photovoltaïques. Toujours pas très parlant ? Ce chiffre représente 50% de la demande en électricité de toute l'Allemagne.



Une accumulation de beaux jours a permis à l'Allemagne de battre ce record, même si celui-ci a été battu un samedi alors que les industries étaient fermées ... Malgré tout, la veille plus d'un tiers de la consommation allemande en électricité avait été produite par les fameux panneaux solaires que l'on voit pousser un peu partout. En 2011, le gouvernement allemand avait annoncé qu'il souhaitait fermer tous ses sites nucléaires après le désastre de Fukishima. Huit sites ont fermé sur le champ, alors que les neuf derniers sites nucléaires verront leurs portes fermées dans les prochaines années. 
L'ambition était de remplacer la production électrique via les réacteurs nucléaires par des panneaux solaires et autres éoliennes. Un projet ambitieux quand on sait la production faramineuse des centrales nucléaires, et donc la quantité d'installations durables (panneaux solaires, éoliennes, barrages) nécessaires afin de rivaliser.  
Une première victoire donc pour le gouvernement allemand et son combat pour protéger l'environnement. Un combat qui s'inscrit sur le long terme car d'ici 2020, l'objectif est de diminuer de 40% les émissions de gaz à effet de serre.

Allons chercher le bois en ville pas en forêt

Extramuros l'atelier est une entreprise d'insertion créée en 2008 qui fabrique et distribue des objets, meubles, réalisés à partir de matériaux de récupération sélectionnés. 



L'idée est simple. Extramuros propose aux entreprises de s'équiper avec des biens créés à partir d'éléments obsolètes, de déchets issus d'un cycle de production ou de matériaux mis au rebut. La société imagine et réalise à partir de ce florilège de matériaux des créations uniques conçues de manière responsable avec des produits écologiques et dans le cadre d'un atelier d'insertion. 
L'éco-fabrication passe par une fabrication avec des matériaux neufs éco-certifiés et des produits respectueux de l'environnement. 
La société en contact direct avec le demandeur, à savoir, l'entreprise qui réceptionnera les produits finis, propose des expositions des ces objets infinis pour des groupes comme l'Oreal, Vinci, Heineken ou encore la ville d'Orléans. 
Extramuros organise également des ateliers participatifs au cours desquels l'équipe sensibilise les participants à l'immense intérêt que constituent ces matériaux mis au rebut. Ces ateliers s'adressent à tous publics, jeunes, famille, habitant d'un quartier, salarié d'une entreprise afin de renforcer les liens sociaux et intergénérationnels. 
Un pas a été franchi en novembre 2011, puisque pour la première fois des sacs en toile postale revalorisés sont distribués au Japon par les magasins Muji. Une belle récompense pour une belle initiative pleine de bon sens. 

Pour visualiser les objets, meubles créés par Extramuros visitez leur site : les objets infinis

Obama décore son idole

Etre président de la première puissance mondiale n'empêche aucunement d'être fan d'une autre personne, tout aussi légendaire

                                               Barack Obama décorant Bob Dylan de la plus haute distinction 
                                                         civile américaine dont il se dit "vraiment grand fan".

"Aujourd'hui tout le monde de Bruce Springsteen à U2 doit beaucoup à Bob" a affirmé Barack Obama dans la salle d'apparat de la Maison Blanche. Là l'icone du protest song des années 1960 noeud papillon et lunettes noires est restée de marbre tandis que le M. Obama arborait un sourire d'un enfant rencontrant son modèle. 
Né en 1961, un an avant la sortie du premier album de Bob Dylan, le président des Etats-Unis a affirmé avoir écouté ses chansons lorsqu'il était étudiant. "Le monde s'est ouvert à moi, parce que (Dylan) avait saisi quelque chose de vital au sujet de ce pays" explique Obama. 
Cette décoration particulière avait été remise à l'ancienne secrétaire d'Etat Madeleine Albright, mais aussi à la romancière prix Nobel de littérature Toni Morrison, l'ancien astronaute John Glenn et l'ex-juge de la Cour Suprême John Paul Stevens. 
"Ce qui est extraordinaire dans ces cérémonies, pour moi, est que tant de ces gens sont mes héros à titre individuel. Je sais quel effet ils ont eu sur ma vie" a affirmé M. Obama.
Des héros comme Bob Dylan qui, parmi d'autres personnes, a joué un rôle essentiel dans l'histoire des Etats-Unis, dont le président Obama est fan.

Vincent de Lozère un fervent supporter, pour le moins hors du commun

Roland Garros bat des records d'audience cette année. La fin de match héroïque de Paul-Henri Mathieu diffusée jeudi soir a même battu TF1 et le match de football de l'équipe de France. Effectivement, en cette période d'examens, nombreux sont ceux qui privilégient la petite balle jaune à leurs cours ! Et parmi ces fidèles spectateurs et téléspectateurs, beaucoup ont remarqué un spectateur plutôt hors du commun lors des matches des français Jérémy Chardy et Benoît Paire. Ce supporter, c'est Vincent, Vincent de Lozère


Depuis vingt-neuf ans ce passionné de tennis arpente les allées de Roland Garros dans le but de soutenir les joueuses et joueurs français. Impossible de le louper que l'on soit devant la télévision ou dans les tribunes, effectivement il a une manière bien à lui d'encourager les frenchies. Celui qui se considère comme un metteur d'ambiance et meneur de public amuse commentateurs et joueurs par ses incessantes marques de soutien aux joueurs. A un point tel que cette année, lors du premier tour de Jérémy Chardy, l'adversaire de ce dernier, le taïwanais Lu, lui offrit un Perrier en plein match !

Ce grand fan de tennis, nouvelle star du tournoi et déchaînant les foules sur les réseaux sociaux, a promis de continuer tant que des français seraient encore en course. De plus, il ne compte plus se limiter au Grand Chelem mais affirme vouloir être présent lors du Masters de Bercy ou d'autres tournois en France. Les "A-llez Jé-ré-my !" ne sont donc pas prêts de s'arrêter pour le plus grand plaisir des joueurs et des spectateurs. A-llez Vin-cent, continue de vouer fidélité et passion à nos joueurs, c'est aussi pour cela que le tennis est si beau.

Ma vision d'un poteau électrique moderne

Lorsque l'on traverse de grandes étendues, les poteaux électriques sont quasiment les seules choses qui vraiment sautent aux yeux. Alors que dire s'ils ressemblaient à ça ?

                                                      Pylônes créés par Design Depot

Nos poteaux électriques affrontent la nature avec leur verticalité trop verticale pour être naturelle et leur couleur triste. Leur utilité quant à elle ne fait pas défaut car, dans un monde où tout doit aller plus vite ces derniers sont essentiels. 
Basé à Moscou, Design Depot a donc imaginé ces poteaux électriques d'un autre genre, d'un genre faussement naturel. Un concept qui a pour but de remédier avec ce visuel vertical de nos chères installations électriques. Ces structures rappellent celles de Jin Choi et Thomas Shine qui avaient été les 
instigateurs d'une nouvelle ère "électrique" avec leurs poteaux tout aussi remarquables. 

                                                       Land of Giants de Choi et Shine


Une façon comme une autre de rajouter du caractère à ces pylônes géants devenus indispensables. Alors pourquoi ne pas en faire une attraction visuelle ? 

Cultivons le désert

Terre souvent synonyme de néant, de terre à l'abandon, de condition extrême, mais qui a dit que l'on ne pouvait pas cultiver le désert ? C'est l'ambition de Sahara Forest Project dont l'idée est simple, faire pousser de la végétation dans le désert.



Un projet déjà réalisé à l'extérieur de Doha, où, un hectare de plantations sont désormais cultivées. Utiliser la lumière du soleil et de l'eau de mer pour produire des aliments, de l'eau douce et de l'énergie tel est le défi à relever. Un système de refroidissement (utile dans ce genre de lieu) afin d'hydrater la serre de 600m² conçue pour produire jusqu'à 4 tonnes de culture par an. 
Michael Pawlyn qui est à la tête de Exploration Architecture explique le but n'est pas de se focaliser sur un seul objectif mais d'utiliser tout le potentiel dont bénéficie une telle situation, c'est à dire, produire de l'eau potable, des matériaux de construction, ainsi que gérer l'aquaculture. 
Avec un budget avoisinant les 4 millions d'euros grâce aux compagnies de fertilisant Yara International (Norvège) et Qafco basée au Qatar le projet devrait voir le jour en Novembre. 
Une idée depuis longtemps envisagée rendue possible grâce à l'avancée technologique, et quand on sait l'étendue de désert sur notre chère planète de nouveaux projets comme celui-ci devraient naître d'ici peu.